Juliana : 11 ans dans le new-age

12 ans. C’est jeune. Et pourtant, c’est à cet âge que Juliana tombe dans les filets du New Age, malgré une attitude au départ sceptique et des parents anti New Age.

Dans cette deuxième partie, Juliana nous raconte comment elle est sortie du New Age et s’est retrouvée elle-même à travers une nouvelle spiritualité, et surtout à travers sa capacité de discernement. Merci à Juliana pour son précieux témoignage, et à Julie Rideau pour sa chaîne YT !

Le témoignage de Josée-Anne Sarazin-Côté

En 2021, alors qu’elle était en voyage au Costa Rica, elle a reçu un diagnostic de sclérose en plaque. Josée-Anne Sarazin-Côté, auteure, influenceuse, ancienne adepte de sorcellerie et désormais disciple du Christ, nous raconte comment ce diagnostic a changé sa vie.

L’image mise en avant est une photo de la canadienne Josée-Anne du temps où elle baignait encore dans l’occultisme, donc avant sa maladie… Avant/Après comme on dit « entre les deux y a pas photo! »


Sorcières : mauvais sorts et bonnes affaires

À partir de 20’34, il est question de féminin sacré et de bénédictions d’utérus…

Ce reportage, dans Envoyé Spécial, aborde le sujet des sorcières modernes et donc de la pratique de la magie noire. À la fin on voit même un rituel d’initiation de sorcellerie Wicca filmé exceptionnellement. Ça se déroule dans un pentagramme au sol avec pacte du sang…

Il est nécessaire de créer un compte pour voir le replay, disponible jusqu’au 7/9/2025.

https://www.france.tv/france-2/envoye-special/6776623-sorcieres-mauvais-sorts-et-bonnes-affaires.html

De maitre reiki à disciple du Christ : le passage de l’occultisme au christianisme de Nelly Gillant

Avec un délicieux accent canadien… Un parcours étonnant à travers les pièges occultes et new-âge d’aujourd’hui.

Notons que ces parcours commencent souvent par des séances de spiritisme… Elle a commencé à prendre ses distances à la suite d’une séance d’écriture automatique (elle a vécu une grande oppression).

En fin de parcours : état dépressif, idées suicidaires, violence envers sa fille de 3 ans…

Voir aussi :

Voyance, astrologie, new-age : de l’ésotérisme au catholicisme

Ces dernières années, les contenus ésotériques ont proliféré sur les réseaux sociaux, répondant à une quête de sens et d’au delà d’une population déchristianisée. Aujourd’hui, Alice nous raconte son parcours de foi : sa recherche de transcendance, ses expériences dans l’ésotérisme et sa rencontre avec Dieu.

Le témoignage de Sylvie

Sylvie a accepté de contribuer au site sosdiscernement.org par le dessin, comme celui que vous voyez ici, et devient ainsi collaboratrice. Elle nous livre son témoignage. Merci à elle.

Je suis née à Toulouse et j’ai été baptisée dans une famille catholique où l’usage était d’aller à la messe tous les dimanches.

J’ai eu beaucoup d’échecs scolaires, car n’arrivant pas à me concentrer et ne pensant qu’à dessiner. Dès l’enfance, j’étais douée pour le dessin et je reproduisais des Obélix à la perfection. Mon grand-père maternel que je n’ai pas connu, était dessinateur-sculpteur, et avait travaillé pour un statuaire à Toulouse pour réaliser des Ste Germaine, Thérèse de Lisieux et autres.

J’ai donc eu une scolarité chaotique et n’ai jamais pu faire une école de dessin, car mes parents ne m’y poussaient pas. Dans les années 68, ils étaient surtout préoccupés de prendre une ferme en Ariège et nous voilà atterris avec mes deux autres sœurs au Mas d’Azil.

Vers l’âge de 15 ans, j’ai été exclue d’un lycée, car je ne faisais rien en classe, que des bandes dessinées caricaturales sur les profs et les élèves.

La régularité à la messe du dimanche à l’adolescence s’est amenuisée, pour ne pas dire a carrément stoppée.

Je me souviens qu’avec ma mère et mes sœurs on avait pris l’habitude de faire des séances de spiritisme avec un verre et des lettres tout autour ; au lycée j’étais pensionnaire, j’invitais les copines à « pratiquer » ces séances. C’était impressionnant, avec nos mains réunies autour du verre, ça fusait dans tous les sens avec des réponses souvent incohérentes. Mais j’avais toujours un malaise intérieur après chaque séance.

Ma grand-mère pratiquait la conjuration des brûlures et ma mère la baguette de sourcier pour trouver de l’eau.

Ma jeunesse au niveau sentimental a été très chaotique puisque je menais dès l’âge de 19 ans une vie de patachon, boîtes de nuit, aventures sans lendemain jusqu’à vers 23 ans où je fréquente un jeune homme et cette aventure ne dure que trois ans. Sa mère qui était allée voir une voyante m’avait prévenue.

Continuer la lecture de « Le témoignage de Sylvie »