Instagram : Astrid parle des nouvelles sorcières

Cours de défense contre les forces du Mal

Sur son compte Instagram, Astrid met en ligne des vidéos en direction des jeunes, reprenant quelquefois des thématiques du site sosdiscernement.org

Squid Game : les jeux de séries télé inquiètent école et parents

Dominique Auzenet

Vous avez peut-être entendu parler de cette série « squid game » ?

Dans cette série, des personnages sont amenés à jouer à des jeux d’enfants et s’ils perdent, ils sont éliminés … on les exécute ! Cette série est interdite aux moins de 18 ans pour ses scènes de violence ! Certains élèves sur des cours de récré s’amusent donc à des jeux style 1-2-3 soleil (comme repris dans la série) et le perdant ou la perdante reçoit des coups… En témoigne ce mail reçu d’une personne amie.

« Ils jouent à des jeux « connus des cours d’école » comme « 1,2,3 soleil » ou autre mais s’ils perdent ils se font taper par les autres ou autres violences…. Ici, les enfants sont tous en maternelle…. Mon fils n’a pas vu cette série bien évidemment. Mais ses « copains » l’ont vu et reproduisent …

Il est difficile pour des enseignants de se rendre compte que des enfants aussi petits jouent à ça. On peut penser que ce sont des petits garçons et qu’il est « normal » qu’ils tirent sur tout ce qui bouge avec des « pistolets imaginaires ». Sauf que ça ne s’arrête pas là. Ensuite ils se tapent et tout.

Mon fils pensait que les petits camarades absents de l’école pour cause de covid avaient été tués à cause du jeu et éliminé …. Il ne voulait plus aller à l’école de peur de se faire tuer s’il perdait au jeu… Il a 5 ans et ne distingue pas encore bien le réel de l’imaginaire…. J’ai dû tout expliquer et remettre le réel à sa place. En parler à la maîtresse aussi…

La semaine avant les vacances il a eu le covid. Je l’ai gardé à la maison. C’est là que j’ai commencé à me rendre compte qu’une truc n’allait pas. Ses jeux étaient violents. Lorsqu’il jouait avec moi, il était agressif et je devais arrêter le jeu. Il fallait toujours qu’il tape, tue …. Il était très agité. Il ne dormait plus. Il ne jouait plus, il détruisait tout: cassait ses jouets, déchirait ses dessins… Sa chambre était un chaos sans nom… Il ne faisait plus rien de « structuré »… Puis il a eu cette réaction lors de la prière du soir, le jour où il m’a parlé de ce qui se passait à l’école… »

Après quelques recherches, j’ai vu que le problème avait déjà été soulevé dans un article du Huffington Post : Faut-il craindre les jeux à la « Squid game » dans les écoles? À Vannes, Paris ou La Réunion, l’alerte est lancée au sujet de l’imitation dangereuse de la série dans les cours de récré. Squid game, la série à succès de Netflix, crée des situations tendues dans les cours d’école.

France-Télévisions, Polynésie la 1ère, a aussi averti : « Squid Game : quand les jeux des séries télé inquiètent à l’école »

En Seine-et-Marne, plusieurs collégiens victimes d’un jeu violent inspiré par la série Squid Game

À savoir, pour faire attention ! Ces jeux peuvent éveiller chez les petits enfants des pulsions de violence qui peuvent devenir incontrôlables…

J’ai vu les soucoupes

Qui peut bien se laisser aller à croire aux extraterrestres ? Ou pire, à penser en avoir déjà aperçu ! Eh bien, Sandrine Kerion, elle, y a cru.

Tout a commencé le jour où elle s’est imaginée avoir vu des soucoupes volantes. C’était dans les années 90, elle était une adolescente un peu paumée, grandissant dans une famille déchirée, un terreau particulièrement fertile pour que la jeune fille sombre dans ces croyances et illusions.

Persuadée d’être une « contactée », une élue chargée par les aliens d’une mission envers l’Humanité, elle sombre peu à peu dans les théories du complot et autres thèses révisionnistes.

D’après l’autrice – qui a pris énormément de recul et s’est beaucoup documentée sur le sujet -, pour en venir à croire à tout et n’importe quoi, il suffit… d’en avoir besoin.

« J’ai vu les soucoupes » est le récit d’une plongée dans la folie douce et l’évocation du contexte tant familial que sociétal qui y a contribué. Mais c’est aussi celui d’une reconstruction et d’un lent retour à la réalité à laquelle l’auteure porte forcément un regard un peu décalé !

Peut-on se faire tatouer quand on est chrétien ?

Pour votre culture biblique, il y a encore ce verset Ga 6 17. Je porte dans mon corps les marques des souffrances de Jésus. Nous on a l’impression que cela veut dire : « Je porte les marques de la croix ». Saint Paul qui a écrit ce verset, lui pensait d’abord aux tatouages des esclaves. A l’époque de Jésus, le tatouage était une pratique sociale qui permettait de marquer les esclaves. Plutôt que de les marquer au fer rouge, on les tatouait. Cela fait toujours moins mal.

Et saint Paul, le grand saint Paul, reprend à mots couverts le langage du tatouage pour l’appliquer à nous. Nous, chrétiens, ne nous appartenons plus. Vous êtes la propriété du Christ qu’il a racheté par le sang de sa croix. Et que de ce point de vue, votre âme et votre chair a été tatoué du nom de Jésus.

De là, il semblerait que dans la première église, il y ait eu des tatouages chrétiens dès les premiers siècles. Les coptes, en Egypte, portent encore un tatouage en forme de croix au poignet. Parce que dans un pays où vous êtes persécutés, affirmer sa foi avec un tatouage discret mais clair, c’est un vrai témoignage. Alors là, oui !